dimanche 19 novembre 2006

un peu de patience...

il nous faut à présent patienter quelques semaines... les bouteilles vont subir un premier mûrissement d'une semaine à température ambiante, puis tomberont dans le côté obscur ( la cave) pour parachever leur formation (repos de 5 semaines minimum).
à suivre...

cache-cache

les chenapans! ils étaient planqués derrière les bouteilles!!!

the empire strikes back

capitaine, on a repéré des rebelles dans le système dagoba!

prêtes pour une seconde fermentation

le sort en est jeté...

la bière, c'est un peu de magie...

majax à côté, c'est de la rigolade.

on ferme!

faire effectuer ce travail délicat par son assistante préférée; choisir au préalable des bouteilles à bouchons avec un joint en bon état, ce qui nécessite de boire une dizaine de bières avant; cela peut être fait le cas échéant sur plusieurs jours, bien sûr...

dans les embouteillages...suite


le plus dur, c'est de bien viser l'entonnoir... la boule qui brille en haut à gauche sur la photo, c'est moi...

dans les embouteillages...

d'une main alerte, verser le contenu du seau dans des bouteilles de 50 cl

le nez de l'experte

et elle a le nez fin...

l'oeil de l'expert

un dernier coup d'oeil sur le mélange avant l'embouteillage...

"la main de dieu"

ça me rappelle les tableaux de la Renaissance...

pendant ce temps, sur la platine...

la question-mystère du jour... sur la platine, on écoute:
-"toutes les femmes que j'aime" de Franck Mickael
-"golden hits 2" de James Last
-"blow up" de Michel Portal et Richard Galliano?

envoyez-vite vos réponses!

on verse le sucre


105 grammes au compteur

je "surdose" de 15 grammes la deuxième dose de sucre pour compenser une fermentation plus longue que prévue.

le pain, ce subtil mélange d'eau et de céréales...


les mêmes ingrédients que la bière... en moins liquide!!! scène de "levée" devant le foyer.

ébouillantage des bouteilles

on verse un peu d'eau très chaude, on ferme, on secoue quelques secondes, on vide et on laisse sécher la tête en bas.

un homme à la bière!

il s'agit à présent de soutirer la bière: on verse délicatement le mélange dans un autre récipient de même contenance (et pas comme moi sur la photo...) sans verser le fond ou repose le dépôt.

faîtes vraiment vite!


il faut éviter de laisser trop longtemps la casserole sur le feu...

faîtes vite, ça chauffe!


on fait bouillir de l'eau pour "stériliser" l'intérieur des bouteilles

contrôle au densimètre

nous ne sommes pas arrivés à une densité de 1.010, nous corrigerons donc par un ajout de sucre plus important que prévu lors de la mise en bouteille.

ah aaaaaaaaaaah!


on aperçoit encore de petites bulles en formation, signe que la fermentation n'est pas tout à fait achevée, mais le manque de chaleur dans la pièce risque de la faire durer encore longtemps... je prends donc la décision de mettre en bouteilles quand même.

le jeu des 7 erreurs


ces photos ont été prises à deux semaines d'intervalles pendant la première fermentation: cherchez les différences, il y en a 7! réponse à l'ouverture des bouteilles.

quel temps!

bon...

l'embouteillage aurait dû avoir lieu la semaine dernière, mais le densimètre n'indiquait pas encore le bon niveau pour la mise en bouteille... voici donc la suite avec une semaine de retard! y faisait pas assez chaud dans la cuisine mes gaillards...
en réponse à la question de monsieur Jean-Yves M. de Paris, on peut trouver ces kits de brassage chez tous les bons détaillants de bières ou marchands spécialisés; le nôtre est fabriqué par "Brewferm products" en Belgique; plus d'infos sur demande...
en réponse à la question de monsieur Damien F. de Paris (qu'est-ce qu'ils boivent à Paris), la consommation de bières n'entraîne pas de troubles du comportement: on a observé seulement de rares cas de "Popachubbite" lourde sans conséquences pour la personne atteinte.

dimanche 12 novembre 2006

du travail de pro!


il est important pour l'avenir de la bière et face à une mondialisation et à une uniformisation du goût que la relève soit assurée...

c'est meilleur que la levure pure!


après l'effort, pensez à bien vous réhydrater!

c'est quand même bien mérité!!!

un dernier effort

à présent, il faut placer le seau pour la première fermentation dans un endroit assez chaud, la température doit être environ de 25 degrés: le dessus d'un frigo peut être une solution, car il fait toujours plus chaud sous le plafond (l'air chaud monte); les célibataires ou les courageux peuvent aussi choisir le dessous de la couette; après tout, ce n'est que pour une dizaine de jours...

on ferme!

on ferme le seau pour une dizaine de jours environ; le brasseur affiche un air satisfait et serein.

résiste!

je ne peux résister à l'envie d'y goûter tout de suite!!!

cet homme peut faire plus que de la bière

touiller détend l'homme et l'emmène sur la voie de l'ivresse, euh non, de la sagesse

on touillontouillontouille (encore)


levure:acte final


on verse la levure dans le seau

mais vraiment pas bon!

on est pas obligé de goûter la levure.

la levure, c'est vraiment, mais vraiment pas bon


sans commentaires.

19h35


les 15 minutes se sont écoulées, tout comme les bières dans nos gosiers (eh! ça rime!)

15 minutes de patience...

15 minutes... ça laisse du temps pour en boire une petite!

le quart d'heure troyen


à présent que les levures sont dissoutes, il faut patienter 15 minutes afin qu'elles se réveillent pleinement avant de travailler non-stop pendant plusieurs semaines

levure, acte 5: l'éclipse est totâââle!

une bien étrange photo...

une autre vue...


levure, acte 4: le big-bang

c'est un peu flou, mais il y avait une telle excitation: on mélange les levures dans l'eau tiède

levures, acte 3:le bain


des levures sur la spatule, toutes excitées à l'idée de prendre un bon bain tiède

levure, acte 2: mise en température

nous assistons ici à l'opération dit du "soufflage": à l'aide de ses poumons et de sa bouche, le brasseur amène doucement l'eau à température désirée, et cela sans aucun trucage.

levure: acte 1

dans un récipient approprié (exemple: un verre à bière brune), verser de l'eau tiède (environ 30 degrés) afin de réveiller les levures que nous verserons plus tard dans notre mélange; choisir de préférence son auriculaire afin de tester la température de l'eau.

on touillontouillontouille 2: la cuillère contre-attaque

pris la main dans le seau: bien mélanger le sucre

c'est beau un grain de sucre qui tombe

admirer les grains de sucre blond dans la lumière du malt brun...

préparation du sucre


la réalisation de cette bière nécessite 500 grammes de sucre: le choix de ce dernier peut influer sur le goût final. Ici, nous avons choisi du sucre de canne blond non raffiné, issu de l'agriculture bio.

prémices d'une réussite?


une mousse dont la couleur fait déjà envie!

on touillontouillontouille


bien mélanger l'eau avec le malt

mixité: suite


ma charmante assistante vue du fond du seau!

de la mixité dans le brassage!


tout le monde peut touiller: la bière n'en sera que meilleure...

de l'eau dans le seau


épreuve physique: maintenir la bouteille sous le bras, verser l'eau dans le seau en essayant de toujours bien viser (cf versement du malt dans le seau) et touiller d'une main alerte le mélange eau-malt. Attention, ce n'est pas facile: vous munir le cas échéant d'un(e) assistant(e).